La thérapie fréquentielle serait comme une Naturopathie “vibratoire”, selon le principe de Georges Lakhovsky, selon lequel Tout ce qui vit est en vibration :
« La vie naît des énergies vibratoires.
La vie est entretenue par les énergies vibratoires.
La vie est supprimée par tout déséquilibre des énergies vibratoires.»
Georges Lakhovsky
La thérapie fréquentielle, ou fréquence-thérapie, utilise la vibration comme vecteur de retour à la bonne santé suivant deux modes bien distincts :
- Le premier utilise des fréquences de ré-harmonisation, ou de recentrage, qui vont permettre aux cellules de retrouver leur vibration vitale initiale de bonne santé, et de fait, stimuler le système d’auto-guérison du corps dans son intégralité. Le corps est un instrument de musique dont nous devons veiller à ce que chaque corde reste accordée, pour que l’ensemble puisse jouer la symphonie de la vie.
Dans cette catégorie, nous trouvons, donc, des thérapies « sonores », qui vont harmoniser, accorder et étalonner les corps subtils, les flux énergétiques et les ondes cérébrales. Car le son agit sur la forme et la matière, Pour ce faire, nous utilisons, par exemple avec de la musique sacrée, des sons binauraux, ou bien, des diapasons thérapeutiques et bols chantants.
- Le second utilise la fréquence comme outil de nettoyage et de déparasitage.
Les parasites sont des organismes vivants qui possèdent une fréquence de vie incompatible avec celle de leur hôte. Eux-mêmes sont dérangés par certaines fréquences.
Des courants faibles de parfaite innocuité pour la personne, sont diffusés sur des zones du corps à des fréquences particulièrement « dérangeantes » pour les micro-organismes pathogènes que l’on souhaite réduire. Il s’agit d’une technique mise au point par Raymond Royal Rife qui utilise un générateur de fréquence pour diffuser, dans la profondeur des tissus, des trains de fréquences létales pour certains micro-organismes qui ne pourraient être atteint par d’autres procédés médicamenteux. La précision est extrême, de façon à ne toucher que la population de micro-organisme ciblée, et pas celles qui se trouvent voisines. Une sorte de frappe « chirurgicale »…
Il ne s’agit pas d’éradiquer, complètement, un type de parasite, mais de le réduire à une juste et acceptable proportion pour le corps. Des résultats probants ont été obtenus pour réduire certains parasites comme les borrélias (bactéries), les candidas (champignons) ou certains vers, particulièrement difficiles à traiter.
La thérapie fréquentielle permet de faire à nouveau vibrer son terrain au diapason de la bonne santé.
Jean-Loïc Bauchet ( 83 – VAR)